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La vente de Yossef fait partie de la "sineat hinam" pour la réparer il faut de la "ahavat hinam" de l'amour gratuit.Lorsque Yossef a rencontré son petit frère Benyamin il est dit :על צוארי, על צואריו =guematria 820Sur mon cou, sur son couChacun des 2 frères (Yossef et Binyamin fils de Rahel) ont pleuré sur le cou de l'un de l'autre.Pourquoi ont-ils pleuré ?Yossef a pleuré sur la destruction future du Beth Hamikdach de Yerouchalaim qui sera construit sur le territoire de son frère Binyamin.Et Binyamin a pleuré sur la destruction du mickane Chilo qui sera construit sur le territoire de Yossef.Le fait que chacun ait pleuré sur les malheurs de l'autre est une forme d'amour sur son prochain.On a vu plus haut que cela correspondait a la guematria 820 c'est la même guematria queTu aimeras ton prochain comme toi mêmeואהבת לרעך כמוך = 820M.M
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L'histoire de mon covid
Merci Hachem pour ce grand miracle que tu m'as fait, il y a neuf mois.
Voici mon histoire :
Je suis un papa de 41 ans au moment de mon covid. Environ 10 jours avant mon hospitalisation, j'ai eu les premiers signes du covid qui se sont intensifiés; fièvre, mal de tête, toux, douleurs, alité.
Le mercredi avant mon hospitalisation, je suis à 94 % d'oxygène dans le sang.
Je ne me rappelle pas comment j'ai passé le Chabbat et ce que j'ai pu faire comme repas ou prière.
A la fin de Chabbat, je sors de plusieurs groupes WhatsApp qui annoncent malheureusement de mauvaises nouvelles.
Je n'ai plus de force pour les accepter.
Mon état se dégrade.
Dimanche 22 mars, j'ai été hospitalisé avec 85 % d'oxygène dans le sang. Avant de partir, mon fils m'aide à mettre les tefilines et ma famille me prépare un sac avec quelques affaires, mon sidour et un téhilim. A ce moment, personne ne pense que c'est grave. Je suis pris en charge à l'hôpital Tenon dans l'après-midi, puis transféré à l'hôpital militaire de Percy avant la nuit. Je rentre directement en réanimation. Quelques temps, après mon arrivée, je suis plongé dans un coma artificiel pour soigner ma pneumonie causé par le covid. Selon ma femme, avant de m'endormir, le médecin m'a tout expliquer mais j'étais trop fatigué, je me suis endormi tout seul, je ne rappelle plus de ce moment.
Dans la nuit, ma femme reçoit un appel du médecin qui lui annonce que j'ai été plongé dans le cas et que mon pronostic vital est engagé.
Bh, Dieu veille sur moi.
Dans le coma, je reçois plusieurs traitement et les choses évoluent dans le bon sens en quelques jours.
Bh, que j'ai été transféré à l'hôpital militaire, là-bas on m'a soigné avec la chloroquine car l'hôpital en avait et l'administré.
Grâce à Dieu et à la puissance de vos prières, je me réveille totalement au bout de 7 jours le dimanche suivant en fin de journée.
Le réveil est difficile et long durant toute la journée de dimanche. Les médecins attendaient ce réveil.
Je réapprends à boire tout doucement pour ne pas faire fausse route au niveau du œsophage et de la trachée artère.
Je resterai attaché aux fils (goute à goute ...) jusqu'à ma sortie de réanimation.
Dimanche soir, je rentre en contact avec mes proches.
Au troisième jour de mon réveil, je suis transféré au service pneumologie.
Avant mon transfert, la chef de service me souhaite un prompt rétablissement. C'est un soulagement pour le service que je suis sorti de cette situation grâce à Dieu.
Bh, à mon arrivée dans ce nouveau service, tout se passe bien. Je marche et fais les choses tout doucement. J'ai du mal à parler et à m'entendre suite à mon intubation. Bh, la voix se rétablira au bout de quelques semaines. Ma sortie est programmée pour la veille de Pessah.
Mardi matin, les choses se compliquent. De bonne heure, en rassemblant mes affaires pour rentrer à mon domicile, je ressens une douleur à la poitrine. On me fait aussitôt un électrocardiogramme. Une légère anomalie est détectée. Également, on me fait une prise de sang. Mon départ est retardée.
Le diagnostic tombe rapidement: mon hémoglobine est tombée à 6 au lieu d'un taux de 13 et on détecte une embolie pulmonaire.
Hachem a décidé ainsi, je passerai les premières fêtes de Pessah à l'hôpital. Le jour même, on me transfuse deux poches de sang. Gam zou létovah, tout pour le bien.
La veille de Pessah, je reste sans manger jusqu'à 19h30. Je passe une série d'examens fibroscopie, coloscopie pour déterminer ma perte de sang. Bh, les médecins ne trouvent rien. Je passe un scanner pour contrôler les poumons et l'embolie pulmonaire. Dans l'après-midi, je suis transfusé à nouveau de deux poches de sang.
Entre temps, je reçois le séder de Pessah que ma femme et mes enfants m'ont préparé.
Je mets les tephillin, et je reçois la fête Pessah en toute précipitation.
Je m'arme de courage pour prier arvit et faire le séder.
Bh, j'arrive à le faire entièrement les deux premiers soirs: lire toute la hagada, boire les quatres coupes de vin, manger la matsa et le maror.
Je sors au bout de 25 jours d'hospitalisation pour passer en famille les dernièrs jours de Pessah.
Durant mon hospitalisation, le corps médical est très gentil avec moi. Une infirmière catholique me dira combien j'ai eu de la chance de m'en sortir et qu'il faut que je remercie Dieu.
Une autre infirmière, en voyant mon livre de prière sur ma table me posera la question suivante : avez-vous pu reprendre la prière ? Je lui répondais par l'affirmative. Elle me dit que c'était une bonne chose. Une autre infirmière catholique me dira combien ils aiment le Dieu d'Israël dans leur religion.Une autre infirmière sera émerveillée par la beauté de la couverture d'un livre d'étude de Torah, qui était posé sur une table. On parlera du Maharal de Prague car elle avait fait un séjour à Prague et avait certainement vu la statue du Maharal. Avec d'autres infirmières, je parlerai du Chabbat et des choses que je ne peux pas faire ce jour là et yom tov.
Je discutais de ma pratique religieuse de la Torah avec les deux spycologues qui m'aidaient en conversant à évacuer le traumatisme du coma. Le personnel comprend et respecte ma pratique religieuse et me fournit des repas glat cachère.
Le premier soir de Pessah, le gastrologue me rendra visite pour me faire son rapport lors de la récitation du hallel et trouvera très beau le fait que je prie en bougeant les lèvres.
Bien entendu, je prierai assis pendant plusieurs semaines.
Il n'y a pas de hasard.
Dans ma chambre d'hôpital, l'endroit où j'étais assis avec la table sur laquelle je posais mon livre de prière était orienté sud-est vers Jérusalem.
Le 8 Sivan 5780, le jour de mon anniversaire hébraïque, j'ai récité la prière du Gomel pour remercier Hachem de m'avoir fait ce grand miracle.
Durant mon coma et après, beaucoup de monde, on priait pour moi juif et non juif à Paris, Netanya, BnéBrak, Jérusalem... Je ne sais pas même pas comment la nouvelle s'est répandue. La prière a été mon bouclier.
Aujourd'hui, j'essaye de faire de même pour les autres malades. La lecture des Tehilim est notre force.
Message éloquent d'un collègue du travail ne faisant pas partie de la communauté:
Merci Michael pour tes nouvelles, nous avons tous été angoissés et nous avons pensé à toi et prié pour ton rétablissement ! A très bientôt.
Voici quelques points de mon coma si ça peut apporter du hizouk (renforcement) dans la avodat (service) Hachem:
Durant mon mon coma, je sais que je suis à l'hôpital. Mais, je ne comprends pas ce qui se passe car j'entends beaucoup de monde parler en italien dans les couloirs et rentrer dans ma chambre.
Il me semble que je suis en Italie. A ce moment, j'ai en mémoire que l'Italie est frappé de plein fouet par le covid mais à mon grand étonnement, je vois beaucoup de monde dans les rues. Tout le monde est occupé à préparer des mets et les petits enfants vont de maison en maison pour les vendre ou les distribuer. Les familles sont ensembles. Afin d'éliminer le virus, les hommes font semblant d'enlever une chemise ou vêtement qui recouvre leur tricot de corps en signe pour faire disparaitre le virus d'eux mêmes. Je ne comprends pas tout !!!
Je vois beaucoup de paysages défilés à toute vitesse, de toutes les couleurs. Beaucoup d'objets s'empiler.
Ensuite, je vois que je suis transporté d'ambulance en ambulance. Je suis angoissé par la situation car je suis conscient que je suis attaché à des tuyaux et j'ai peur qu'en me transportant que ces tuyaux se détachent et que je sois en danger.
Durant le coma, je suis tenté par les forces du mal qui me demandent de blasphèmer Dieu; et d'autre côté je sais que je dois rester attaché aux forces du bien pour continuer à vivre. C'était un combat spirituel que je devais obligatoirement gagner pour rester en vie.
Dans ce tumulte, je me rappelle d'un passage étudié il y a plus de 20 ans relatant la tentation des forces du mal à un moment de danger et quel est le remède pour rester attacher à la vie: il ne faut pas écouter ces forces qui sont sources de mort qu'Hachen nous en préserve.
(Vous trouverez en pièces jointes, le texte en hébreu expliquant la tentation du mauvais penchant)
Avant mon réveil, je sens être sur un lit qui bouge et je tousse énormément, les tuyaux me gênent mais personne n'est là. Ce moment est long et difficile. Ne supportant plus les tuyaux, je m'extube de moi même avant d'être pris en charge par les médecins qui me posent un masque pour mieux respirer.
Ensuite, je me rendors...
Je ne sais pas à quel moment .. quand je suis un peu réveillé, je n'arrive pas à lever les bras, les jambes, tout est difficile, la bouche est prise par des sécrétions, le palais est abîmé à cause des tubes.
Je guette constatement la petite pièce intermédiaire qui sert de passage aux personnels hospitaliers pour se préparer avant de rentrer dans ma salle de réanimation. J'attends quelqu'un qui pourra soulager mes douleurs.
A un moment, dans cette petite pièce, je vois un Rav habillé avec un talit sur la tête qui semble prier intensément et me fait signe de ne pas m'inquiéter car tout ira bien. Ensuite, il quitte la pièce et je ne le reverrai plus. Jusqu'aujourd'hui, je ne sais pas qui c'était ? Et comment il a pu rentrer dans cette pièce reservée? Un messager du ciel?
Je tiens à remercier ma femme, mes enfants, mes parents, ma sœur, ma famille, les personnes qui ont prié pour moi, la croix rouge française et le SAMU qui ont réalisé mes deux transferts à Tenon et à l'hôpital militaire de Percy et tout le monde hospitalier qui s'est dévoué et a veillé sur moi nuit et jour pendant cette épreuve. Ils ont fait et font un travail incommensurable. On leur doit énormément en cette période et toute l'année.
Qu'Hachem les aide.
Bh, aujourd'hui, je vais mieux tout étant sous surveillance médicale.
Hanoucah Saméah
(M.L)
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Ben Ich Hai parallels the following two events:
- Yosef is thrown into the well by his brothers... Then Yosef will come out of the well to be sold to merchants.
- In Egypt, Yosef is thrown into prison and then Pharaoh will call upon him to interpret his dreams.
His rescue from the well was only a sign predicting his release from prison in Egypt.
During his internment in prison, Yosef had to retrieve holy sparks that were captive there.
Yosef's brothers sold him for twenty pieces of silver.
What was the reason for this sum? Yaacov considered Yosef to be the first born (behor) despite the fact that he was the eleventh child. His brothers were jealous of him, knowing that the title of behor conferred a right to royalty (power). This jealousy led them to throw him into the well and then to sell him for twenty pieces of silver. By their action, they split the word בכור (behor) into two בור (bor, the well) and כ (the letter Kaf), which has a numerical value of twenty corresponding to the price of Yossef's sale.
In the end, Yossef came to power as viceroy of Egypt in accordance with the place of behor that Yaacov had conferred on him.
After giving him full powers, Pharaoh dressed him in a robe of byssus (fine linen). In Hebrew, byssus is called שש (Chech). What allusion can we find in this word?
1. Like all men, Yosef had two inclinations יצר (Yezer, inclination, a word that has a numerical value of ש, three hundred) a good and a bad one. Yosef overcame his bad inclination, transforming it into a second good inclination (two identical ש, chines) and as such deserved to have a byssus garment (שש).
2. In Egypt, Yosef did not succumb to bad morals and by this fact he became the symbol of the sixth sphere which is the Yesod (foundation of the world, the world rests on respect for the covenant of good morals).
Also, Yossef deserves to have a הא (hey which has a numerical value of six) added to his first name (יהוסף,Yossef, cf psalm 81 recited every Thursday morning) to underline his attachment to the sphere of the Yesod.
Respect for the Yesod is the guarantee that his sustenance will not disappear and that he deserves new benefits. In this sense, Yosef was the one who managed all the sustenance of Egypt.
We find several times the value six attached to Yosef.
1. Pharaoh's throne was at the seventh step of a staircase; Yosef's throne was at the sixth step of the staircase.
2. The numerical value of Yosef 156 (יוסף) is equal to 6 x 26 (the numerical value of the name HAShem).
3. Yaacov taught Yosef the Oral Torah which is composed of six volumes of Mishena.
(Lessons from the books Ben Ich Hai - Drachot and Od Yossef Hai)
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