C’est une mitsva de la Torah de respecter ces parents.

Il faut faire très attention  à honorer et à craindre ses parents.

Il y a trois associés dans la conception d’un enfant :

* Hachem

* Le père

* La mère

           Alef (1) – Hachem est unique

Plus     AV (3) – Le père (Alef, Veth)

Plus     EM (41) – La mère (Alef, Mém)

=        ADAM (l’homme) a pour valeur numérique 45 (Alef, Dalet et Mém)

Quand le fils honore son père et sa mère, alors Hachem  considère qu’on l’honore également.

C’est mitvsa procure longévité.

Il n’y a pas de limite à cette mitsva. 

(Yalkut Yossef)

C’est une mitsva de la Torah de respecter ses parents.

Il est bien d’avoir (1) l’intention d’accomplir la mitsva de respecter ses parents avant de faire cette mitsva  (pour cette mitsva, c’est discuté si on a vraiment besoin d’avoir  l’intention d’accomplir la mitsva ; c’est pour cela que le Yalkut Yossef rapporte cette halacha en ces termes (1))

D’une manière générale,  pour toutes les mitsvot, on doit avoir l’intention de s’acquitter de la mitsva avant de la réaliser.

Cette mitvsa procure la longévité.

Pourquoi nous ne faisons pas de bénédiction sur cette grande mitsva?

Il y a plusieurs raisons :

* Cette mitsva n’est pas ordonnée uniquement aux juifs, mais à l’ensemble de l’humanité.

Il est naturel de respecter ses parents, par simple reconnaissance du bien qu’ils nous ont procuré.

* Si le père est indulgent (pardonne ou n’oblige pas son fils) sur un point de respect précis à son égard alors le fils n’a pas l’obligation de le respecter sur ce point.

C’est pour cela que le fils ne pourra pas faire de bénédiction avant de servir son père, du fait qu’il ne sait pas à l’avance si son père va accepter cette marque d’honneur.

*On n’institue pas de bénédiction sur une mitzva en continue (Jour et nuit, on peut  pratiquer  cette mitsva) 

(Yalkut Yossef)