• Pensée: Le Chabbat et le chiffre 7

    On retrouve le chiffre 7 dans le sujet du chabbat:

    - Le chabbat, c’est le 7 e jour de la semaine
    - Chaque amida comporte 7 benedictions
    - Le chabbat matin, 7 personnes montent au sefer torah
    - On fait le kiddouch sur le yayine (vin) qui a pour petite valeur numérique 7 
    - On mange du bassar (viande) qui a pour petite valeur numérique 7

     


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  • Pensée: H’odesh

    Chaque mois correspond à une combinaison des lettres du nom d'Hachem Youd ke vav ke (valeur numerique =26)

    Nous retrouvons ce point dans la valeur numérique  du mot H'odesh (312) qui est égal au nom d'Hachem x 12 (mois) = 312

    (Sefer Bné Issah'ar)


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  • On raconte une histoire extraordinaire au sujet d’un homme qui n’avait pas d’enfant : il avait essayé tous les moyens et toutes les ségoulot, mais en vain.

    Il était allé plusieurs fois consulter l’éminent Rav ’Haïm Kanievsky. La dernière fois qu’il y alla, il pleura abondamment et le supplia de lui donner un conseil qui marchera "à coup sûr". Après quelques minutes de pleurs émouvants, le Rav lui conseilla d’aller recevoir la bénédiction d’un homme que l’on pourrait définir ainsi : « on l’offense et il ne répond pas ». L’homme éprouvé reprit courage, pensant que c’était chose facile. Hélas, le temps passa, et il ne réussissait pas à rencontrer un tel homme.

    Un jour, notre homme assista au mariage d’un membre de sa famille. Alors que les convives prenaient le repas de fête, un homme fit irruption dans la salle. Devant tous les invités, il se mit à vociférer des insultes contre l’un des convives qui était tranquillement assis là. Les autres invités n’en croyaient pas leurs oreilles, tant les insultes étaient cinglantes, mais la personne offensée gardait son calme, comme si les paroles de l’intrus ne l’atteignaient pas le moins du monde. Ce calme ne fit qu’augmenter la fureur de l’intrus. Il se montra encore plus violent dans ses propos, au point que cela devint intolérable.

     

    Le visage de l’homme insulté commença à exprimer son exaspération. On voyait bien qu’il n’en pouvait plus et qu’il allait réagir avec perte et fracas. Notre ami se leva alors d’un bond et se précipita vers l’homme insulté en criant : « Je vous en supplie, ne dites pas un mot ! Ne répondez pas à ces paroles blessantes ! »

    L’homme le regarda, surpris, comme s’il voulait lui demander ce qu’il avait à voir avec cet incident. Mais le jeune homme insista : « Ecoutez-moi s.v.p. faites ce que je vous demande ! Ne lui répondez pas ! Ensuite, je vous expliquerai ! »

    L’homme accepta de satisfaire cette étrange demande. Son agresseur continua à déverser sur lui un flot de malédictions et d’insultes pendant un moment, puis, voyant qu’il était inutile d’espérer de la part de sa victime une réaction qui envenimerait la situation, il finit par se décourager, se leva et quitta les lieux.

    Le jeune homme se leva alors, et raconta à l’homme offensé ce que lui avait conseillé le rav Kanievsky et lui demanda sa bénédiction. Celui-ci écouta avec un grand étonnement son histoire et se sentit gêné. Mais il se conforma à la recommandation du Rav Kanievsky et lui donna sa bénédiction, lui souhaitant d’avoir des enfants. Neuf mois plus tard, l’épouse du jeune homme donna naissance à un fils. (Travail des Midot : Comment maitriser sa colère ? aux éditions Torah-Box)

    (Torah Light sur Facebook)

     


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  • Nous avons vu hier l’enseignement de nos sages dans le Talmud (‘Houlin 89a) : « Quel est le métier de l’homme ? De faire comme s’il était muet ! »

    Les sages ont défini ce devoir comme étant un travail (un métier) afin de nous apprendre plusieurs principes.

    Premièrement, le Talmud a voulu nous enseigner qu’un apprentissage est nécessaire. En effet, il est connu qu’un homme qui n’est pas artisan et ne sait pas fabriquer une chose précise pense que cette chose est facile. En voyant de nombreux objets, on peut croire que leur fabrication est facile. Cependant, en pratique, il sera très difficile de les fabriquer. Seuls les artisans arrivent à créer des meubles ou d’autres objets, et ce, qu’après avoir effectué un apprentissage.  

    Le fait de se taire ressemble donc à cela et nécessite auparavant un apprentissage, comme la plupart des métiers.

    Celui qui croit pouvoir réussir à se préserver des paroles interdites sans effectuer d’  apprentissage se trompe !

    Comment se fait la formation ? Elle se fera tout d’abord en étudiant régulièrement les lois et du Moussar sur ce sujet, mais aussi en s’habituant à ne pas dire tout et n’importe quoi à tout moment, même lorsque les paroles ne sont pas réellement interdites. Ainsi, avec l’apprentissage, l’homme parviendra à réaliser l’un des grands devoirs qui l’incombe sur terre : se préserver de prononcer du Lachon Har’a !

     

    (Torah Light sur Facebook) 


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  • Deux fois par jour (le matin et la nuit), nous avons la mitzva de nous rappeler de la sortie d'Egypte.


    Par quel mérite nous sommes sortis d'Egypte ?

    La guémara rapporte par le mérite des femmes vertueuses.

    Le Ben Ich Hai rapporte par le mérite de nos patriarches: Avraham, Itshak et Yaacov

    Il dit  que le mérite de nos patriarches (c'est à dire le nombre d’année qu'ils ont vécu) est allusionné dans la valeur numérique du mot acher qui se trouve dans le dernier verset du chéma: acher otseti eth´em meeretez mitzraim (que je vous ai fait sortir d'Egypte)

    Valeur numérique d' acher : 501

    Avraham a vécu: 175 ans
    Itsh´ak a vécu: 180 ans
    Yaacov a vécu: 147 ans

     Total: 501 années


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