Avraham et Chelomo ont formulé la bénédiction de  Ychtaba'h.

On retrouve les noms Avraham et Chelomo dans cette bénédiction:

 יִשְׁתַּבַּח שִׁמְךָ לָעַד מַלְכֵּנוּ, הָאֵל הַמֶּלֶךְ הַגָּדוֹל וְהַקָּדוֹשׁ בַּשָּׁמַיִם וּבָאָרֶץ, כִּי לְךָ נָאֶה, יְהֹוָה אֱלֹהֵינוּ וֵאלֹהֵי אֲבוֹתֵינוּ, לְעוֹלָם וָעֶד: שִׁיר וּשְׁבָחָה, הַלֵּל וְזִמְרָה, עֹז וּמֶמְשָׁלָה, נֶצַח, גְּדֻלָּה וּגְבוּרָה, תְּהִלָּה וְתִפְאֶרֶת, קְדֻשָּׁה וּמַלְכוּת, בְּרָכוֹת וְהוֹדָאות לְשִׁמְךָ הַגָּדוֹל וְהַקָּדוֹשׁ, וּמֵעוֹלָם וְעַד עוֹלָם אַתָּה אֶל: בָּרוּךְ אַתָּה יְהֹוָה, מֶלֶךְ גָּדוֹל וּמְהֻלָּל בַּתִּשְׁבָּחוֹת, אֶל הַהוֹדָאות, אֲדוֹן הַנִּפְלָאוֹת, בּוֹרֵא כָל הַנְּשָׁמוֹת, רִבּון כָּל הַמַּעֲשִׂים, הַבּוֹחֵר בְּשִׁירֵי זִמְרָה, מֶלֶךְ, אֶל, חַי הָעולָמִים. אָמֵן: 

(Rav BenTsion Moutzafi)

Chéma: 

Le matin, on peut faire le chéma, à partir du lever du jour et  jusqu'à la fin de la troisième heure saisonnière

depuis le lever du jour (premier avis) ou depuis le lever du soleil (deuxième).

On doit tout faire pour respecter le premier avis. 

Amida: 

Le matin, on peut faire l'amida à partir du lever du jour  et  jusqu'à la fin de la quatrième heure saisonnière

depuis le lever du jour (premier avis) ou depuis le lever du soleil (deuxième). 

La meilleur formule, c'est de réciter le Kriat Chema quelques minutes avant le lever du soleil et de commencer l'Amida au lever du Soleil.

Si quelqu'un ne peut pas attendre le lever du soleil, car c est un horaire trop tardif, alors il pourra prier

avant le lever du soleil en respectant l'heure minimale

Si quelqu'un peut attendre le lever du soleil ou prier après le lever, alors il devra prier à partir de ce temps.

Il ne pourra pas prier avant ce temps ; même s il doit prier tout seul après, car il ne trouvera pas de minyane.   

Les tefilines et talit devront être portés 6 minutes saisonnière après le lever du jour.

Par exemple, Roch ‘Hodech qui tombe un Chabbat, on sort deux Sefer Torah.

Quand on lit dans deux Sefer Torah, on lèvera (hagbaha) que le premier Sefer Torah.

Toute la communauté doit lire l’Aftara à voix basse avec l’officiant (ou celui qui a acheté la mitzva de la lecture de l’Aftara). 

(Sidour Ich Matslia’h)

Celui qui monte au Sefer Torah a l’obligation de lire (avec sa bouche à voix basse) avec l’officiant ; et s’il ne lit pas ses bénédictions sont vaines (Lévatala) et on ne pourra pas répondre Amen à ses bénédictions.

Si on a un doute, si celui qui monte lit effectivement à voix basse avec l’officiant ; alors on conseille à la communauté de répondre à la place du Amen la phrase suivante :

Barou’h Ado-nai Léolam Amen VéAmen 

(Sefer A’h Tov Va’héssed, Sefer Hayomit)