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Par torah le 21 Novembre 2017 à 12:49
Comme l’homme, la femme a la mitswa de réciter le kidouch.
De même qu’elle doit garder le Chabbat, la femme a également la mitswa de sanctifier le Chabbat.
(Source : Séfer Hachabbat Béhalah’a Oubéagadah)
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Par torah le 21 Novembre 2017 à 12:48
C’est une mitswa de la Torah de sanctifier le jour du Chabbat dès son entrée en vigueur ; comme il est dit : Rappels toi du jour du Chabbat pour le sanctifier.
Du fait, de l’importance et du niveau élevé de cette mitswa, les sages ont institués de prendre un verre de vin pour sanctifier le Chabbat.
(Source : Séfer Hachabbat Béhalah’a Oubéagadah)
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Par torah le 21 Novembre 2017 à 12:46
Le passage de Léchem Yéh’oud qui figure dans plusieurs livres de prières n’est pas obligatoire.
De toute manière, certains séfaradimes ont pris l’habitude de le réciter avant le kidouch.
[Ce passage rapporte les pensées que l’homme devra avoir pour réaliser le plus correctement la mitswa du kidouch :
1. S’acquitter de la mistwa de sanctifier le jour du Chabbat
2. Demander à Hachem de déverser sa bénédiction sur nous
3. La bénédiction sur le vin acquittera les boissons bues durant le repas (Sidour Ich Matslia’h)]
Dans ce passage, on ne doit pas dire des choses discutées sur le plan de la halah’a :
1. Voici je vais m’acquitter de la mitswa de la Torah en sanctifiant (par des paroles) le Chabbat
2. Et m’acquitter de la mitswa d’ordre rabbinique en sanctifiant le Chabbat en prenant un verre de vin.
En effet, d’après la majorité des décisionnaire, on s’est déjà acquittéde la mitswa de la Torah de sanctifier (par des paroles) le Chabbat en disant « Barou’h Ata Hachem Mékadech HaChabbat » dans la Amida de la prière du soir. Comment pourrait-on dire à nouveau voici je vais m’acquitter de la mitswa de la Torah en sanctifiant (par des paroles) le Chabbat ? !
Egalement, d’après plusieurs décisionnaires, la récitation du kidouch sur un verre de vin est une mitswa de la Torah. Comment pourrait-on dire, et je vais m’acquitter de la mitswa d’ordre rabbinique en sanctifiant le Chabbat en prenant un verre de vin ?!
A la place de tout cela (points 1 et 2, on dira : voici je vais m’acquitter de la mitswa du kidouch sur le vin (sans qualifier la mitswa d’ordre torahique ou rabbinique).
(Source : Séfer Hachabbat Béhalah’a Oubéagadah)
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Par torah le 15 Novembre 2017 à 18:00
Après la récitation du chant Echet H’ayil, on prononcera le chant Ezamer Béchvah’im.
Ce passage a été écrit par le Ari zal.
Son est nom est allusionné dans les premières lettres de chaque vers.
(Traduction : je suis Itsh’ak Louria fils de Chlomo)
Si la récitation de ce passage impatiente la famille et les enfants, on pourra l’omettre.
(Source : Séfer Hachabbat béhalah’a Oubéagadah)
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Par torah le 15 Novembre 2017 à 17:59
Après la récitation du chant Chalom Aléh’em, on prononcera le chant Echet H’ayil.
Ce passage a été écrit par le roi Chlomo.
En récitant le passage suivant
(Traduction : Bien des femmes se sont montrées vaillantes, tu leur es supérieur à toutes !)
Le mari pointera du doigt sa femme et dira
(Mais toi tu es montée au-dessus d’elles toutes).
C’est une ségoulah vérifiée : si à ce moment-là, l’homme pense vraiment à adresser ces mots à sa femme, alors il méritera d’une paix véritable dans son foyer.
Même si sa femme ne dépasse pas les autres, de toute manière cette acte influera positivement sur elle.
L’homme devra inspirer à ce que sa femme atteigne ce niveau pour que le verset suivant s’applique à elle : tu leur es supérieur à toutes !
(Source : Séfer Hachabbat béhalah’a Oubéagadah)
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