Et il y a aussi ceux qui ne se retiennent pas de dire de la médisance car ils sont habitués à réclamer sur tout et sur tous et à toujours être mécontents. Certaines personnes pensent toujours (ou presque toujours) que tout le monde agi mal et voient la conduite des autres de manière négative. 

Eux aussi devront arranger cette cause à sa source s’ils désirent se défaire totalement duLachon Har’a. 

Pour cela, un travail de réflexion est nécessaire afin de voir combien ils gagneront à regarder le monde autrement. Cela ne veut pas dire qu’il faut toujours croire que tout est beau, mais on peut au moins avoir le doute et ne pas être convaincu que tout est négatif ! Et même lorsqu’une conduite était négative, il n’est pas nécessaire de l’analyser avec exagération. 

En plus du bien-être qui suit lorsque l’on s’habitue à juger les autres avec moins de sévérité, on accomplira très souvent la mitsva d’aimer son prochain comme soi-même, la mitsva de juger les autres favorablement et de ne pas haïr son prochain. 

(Lorsque quelqu’un faute, il ne faudra pas non plus penser que ce n’est pas une faute et que l’on peut agir ainsi, mais on pourra se dire que cette personne a agi involontairement, ou sans connaissance ou encore sans connaître la gravité de ses actes.)

(Torah Light sur Facebook)